Une identité
L’homme et la femme ne doivent dépendre de rien ni personne. Tout au contraire comme, l’homme est un réseau d’énergie relié à d’autres réseaux d’énergies et vit constamment d’un sentiment d’appartenance. Il lui est impossible de développer une identité, car son centre de gravité à l’intérieur de lui-même a été remplacé par une émotivité quasi constante, de cette façon son seul point de rencontre est la collectivité qui se nourrit d’inconscience en le concept formel du bien et du mal. Ce concept demeure sa seule base sur laquelle il peut évaluer son action. La cessation de l’émotion dans le principe mental va permettre à l’être de se fixer dans une autre conscience de la vie libre de l’influence extérieure imposée par une société sans conscience réelle. Le développement de cette conscience nouvelle s’appuie sur la capacité qu’a l’être de vivre sa conscience au-delà de la polarité du bien et du mal, il faut que l’homme et la femme brisent l’action néfaste de cette polarité sur ses corps émotionnels et mentaux. Sinon il est toujours obligé de se vérifier par rapport à la conscience des autres liées à la collectivité. Tant que l’homme et la femme sont liés et prisonniers de cette polarité du bien et du mal, ils leurs sont impossible de se créer une identité. Même s’ils pensent en avoir une. Le jeu des forces astral en l’homme c’est de le tenir en guerre contre lui-même, en la dualité du bien et du mal. Croire est l’envers du doute ceci soutient cette polarité. Ceci garde l’homme et la femme ignorant d’eux-mêmes. L’homme et la femme doivent déchirer les voiles que l’astral leur impose en la pensée et l’émotion subjective.